Des poemes de MOI cette fois ci UU
-Poesie-
La verité
Parfois le sens profond d'une morale,
Coule, eau limpide d'une timbale.
Et la reponse en retour,
Me paraît simple comme bonjour.
Mais, est passé un voleur,
Qui me l'as arraché du coeur.
Alors j'en ait sortis une copie de mon cartable,
Petit étoile couleur sable.
Le Printemp
L'odeur
des fleurs,
douces senteurs.
Me chatouille le bout du nez,
et la dure loi de l'hiver est expirée.
Celle du printemp a commencée.
La nature s'epanouie,
verte prairie
fleurie,
Le placard
Les tenèbres ont englobés mon monde,
rue furibonde,
D'une poix houleuse, néfaste, insasiable,
fumée instable,
Qui se repercute chaque secondes,
tonerre qui gronde,
Synonyme de l'antre de mon diable,
irascible et implacable,
Mort.
Souffle de methane,
Tu en vomis quand tu dort.
Avec application je mis damne,
Venin que j'expulse,
Cris qui pulsent,
Mort.
Il vient me chercher,
Mais je reste dans mon coin, caché,
L'ombre s'approche,
Derniers espoirs, je mis accroche.
Seul dans mon placard,
Le teint huileux, blafard.
Un souffle avide expire,
Voeu de me voir périr.
Le démon pousse un cri,
Auquel je repondis,
Hurlement strident,
A vous glacer le sang.
La cachette révelée,
L'enfant put comtempler,
De ses grands yeux apeurés
Ce funeste destin qui l'appelait,
La mort.
Amas d'os et d'odeurs putrides,
orbites vides,
vision d'effroi,
pour
UNE
fois.
Expression de tendresse,
douce caresse,
Coeur arraché.
Notre enfant si bien caché,
Que son paternel avait retrouvé.
Enfuis dans ses rêves,
Tout n'était que stratège.
Dans un placard il s'était endormi,
En proie a un sentiment d'asphyxie,
Notre macabre conte il s'était imaginé.
Un père se reconciliant avec son petit,
Injustement puni,
pour avoir fait pipi au lit.
By Akuma-Haiiro
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